2011/11/27

Une comédie musicale d'un nouveau genre


Mandy fait un rêve... BurlesqueStar au Brussel Summer Festival 2011
     La sonnerie du réveil me tire du sommeil et disparaissent alors les visages et les danses de ce cabaret onirique..
À la manière de ces effeuilleuses qui m’avaient éblouie, et dont la nudité sublime se découvrait à mesure que disparaissent leurs costumes pailletés, la réalité qui se fait jour éteint les lumières de la scène en me laissant dans le cœur un souvenir exalté et vibrant.  Je ne me rappelle que ces mots « Burlesque Star ». Mais qu’est-ce que c’est ?
   Soudain je me rappelle qu’une amie m’avait parlé d’un nouveau genre, alliant la joie des comédies musicales et la sensualité débridée du New Burlesque, la comédie musicale burlesque. Mais oui ! Elle revenait du Brussel Burlesque Festival, et avait vu le spectacle Burlesque Star.
« On se croirait à Broadway, les personnages sont détonnant ! C’est l’histoire d’une jeune femme qui rêve d’être une star du Burlesque. Le spectacle raconte sa folle aventure dans le monde des cabarets avec joie et malice. Je crois qu’il se joue à Paris bientôt ».
 Je décide alors de mener une petite enquête sur ce spectacle venu me visiter en songe, et d’aller voir cette amie qui doit en savoir plus.
 En sortant de chez moi, je regarde le fronton du théâtre Adyar, théâtre à l’Italienne classé Monuments Historique, et tapis dans le fond du Square Rapp à deux pas de la Tour Effel. Depuis l’enregistrement de la fameuse intégrale des sonates de Beethoven, réalisé en 1953 et 1955 par Yves Nat, ce lieu est connu des musiciens du monde entier pour son acoustique admirable.
    Une affiche près de la porte attire mon attention, on y voit une silhouette peinte, deux étoiles à pompons accrochées sur le bout des seins, et en grandes lettres vertes : « BURLESQUE STAR, La première Comédie Musicale Burlesque d’Europe. Le Vendredi 16 décembre à 20h30 ».
                                    C’est noté !
                                                                                                                                       M.R.

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